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Ethereum, la cryptomonnaie qui monte !

  • R.N
  • 14 févr. 2018
  • 2 min de lecture

Vitalik Buterin, ce jeune Canadien d'origine russe n'avait que 19 ans lorsqu'il a fondé Ethereum, devenu l'un des mastodontes de l'univers des cryptomonnaies, derrière Bitcoin.

A désormais 23 ans, Vitalik Buterin pourrait bien être le futur Steve Jobs. Il est déja reconnu par ses pairs, en 2014 il a reçu la prestigieuse bourse du millardaire Peter Thiel et Fortune l'a placé dans sa liste des personnes de moins de 40 ans les plus influentes de la planète, confirmant ainsi les espoirs placés dans Ethereum.

Il utilise l'architecture du Bitcoin, disponible en open source, pour mettre au point une nouvelle «blockchain» : technologie qui permet de stocker et transmettre des informations de manière transparente, sécurisée et sans organe central de contrôle.

Ethereum naît en 2013 est est lancée en version bêta en 2015. Son entreprise a connu depuis une progression fulgurante : +7400% en un an. Un engouement lié aux promesses de la technologie sur laquelle la cryptomonnaie est adossée, la blockchain.

Alors que la blockchain sur laquelle est adossée le Bitcoin est destinée uniquement aux devises, Ethereum repose sur une blokchain qui permet aux développeurs de créer facilement tous types d'applications, dans tous les domaines, que ce soit la finance, la musique, la sécurité, la presse ou même le jeu.

Mais l'application qui suscite le plus d'interêt est celle des «contrats intelligents» (smart contracts), des protocoles informatiques qui facilitent, vérifient et exécutent la négociation ou l'exécution d'un contrat. Concrètement, cela permet la mise en place de contrats entre particuliers ou entreprises, la blockchain Ethereum jouant alors le rôle de «tiers de confiance», remplaçant par exemple le notaire.

De plus, avec les contrats intelligents, les clauses se mettent en place de manière automatique dès que les termes du contrat de départ sont remplies. le tout avec plus de sécurité, plus de simplicité et un coût moindre que lors de la mise en place de contrats classiques.

Bien sûr, l’inquiétude sur les emplois existe. Mais c’est différent avec les blockchains : avec les autres technologies, c’est aux marges que cela se passe, dans les petits jobs de l’industrie, etc., tandis qu’avec avec les blockchains, on automatise des choses au cœur de la machine, ce qui est une bonne chose. Des emplois vont certainement être perdus, mais ils concernent en grande partie des gens qui gagnent beaucoup d’argent. Il espère que les blockchains contribueront à éliminer des emplois trop bien payés.

Une chose est sûre, on devrait entendre parler de Vitalik Buterin à l'avenir...

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